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17.11.1915 - 167 bekannte deutsche Kriegstote

Paul Heinrich

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Documents iconographiques d'époque

Les image présentes ici et non encore triées sont libres de droits et peuvent être utilisée si l’on mentionne leur origine. Il est prévu de donner un accès au stock complet de photos des archives du Volksbund concernant la Première Guerre mondiale.

Documents d'image avec preuve de l'origine:

Un cimetière détruit pendant les combats de la Première Guerre mondiale - Village de Westende Archives du Volksbund : Livre commémoratif 75, p. 18.

Prisonniers de guerre britanniques près de Villers Autreux (ou Villers Outreux) - 22-3-1918 - veille de l'offensive du printemps 1918 dans la Somme.

182ème régiment d'infanterie : remise des prix par l'Oberleutnant Sahode à l'occasion de la fête du sport à Ruddervoorde, mai 1916 - à gauche on aperçoit l'Oberstleutnant Freiherr von Halkett.

182ème régiment d'infanterie : prisonniers de guerre russe travaillant dans la France occupée - 1915.

182ème régiment d'infanterie : prisonniers de guerre anglais à Lens après la bataille de Souchez - septembre 1915.

182ème régiment d'infanterie : Mitrailleuse dans la position Wytschaete - hiver 1915/16 - tranchée.

182ème régiment d'infanterie : chemin devant l'hôpital de Wytschaete - hiver 1915/16 - le médecin-chef Mylius prend le soleil dans le boyau.

182ème régiment d'infanterie : prisonniers de guerre russes dans la France occupée - printemps 1916.

182ème régiment d'infanterie : détenus français de la région de la Somme - Bataille de la Somme, juillet 1916.

88ème division d'infanterie (front de l'est) : transport de prisonniers de guerre russes au front de l'est, vers 1915.

88ème division d'infanterie (front de l'est) : Russe tombé sur l'avancée, couché dans une tranchée, vers 1915.

Hôpital miliaire : hôpital militaire du Wurtemberg 253 - Noël 1916 à l'Église de Bantouzelle.

Photo prise pendant la Première Guerre mondiale : tranchée anglaise près de Warneton en mai 1918.

Division des téléphonistes : installation de câbles enterrés en Champagne (à l'est de Reims) sur le Poehlberg, en 1917.

Creusage des tranchées : cette image montre une excavatrice, vraisemblablement lors de la construction de la position Siegfried en 1917.

On aperçoit des chars français après la double bataille de l'Aisne et de la Champagne près de Ville-aux-Bois en 1917.

Commando de ramassage des morts dans les tranchées de Langemark, dans la province de Flandre occidentale.
Langemark possède également un cimetière militaire où reposent un très grand nombre de victimes de la Première Guerre mondiale qui s'étaient volontairement engagées pour combattre.

Noël sur les champs de bataille : ce cliché pris le 24-12-1917 montre la division de téléphonistes à Milly-sur-Bradon près de Dun-sur-Meuse le soir le Noël.

4ème obusier 21 cm Mörser du régiment d'artillerie à pied N° 9 près du château de Manneken visant la sortie nord de Langemark - février 1915

Transport de prisonniers devant la gare de Roulers, en avril 1915.

Cette photo prise en juillet 1915 à Bixschoote montre une vue à travers une brèche dans une protection : à droite, on voit les ruines de Steenstraete, alors qu'au fond on aperçoit le canal de l'Yser presque vide avec le pont d'assaut.

Cette photo montre quelques membres du 8ème régiment de réserve d'artillerie à pied N° 7 dans la cantine de la garnison, à Stadenreke. Mai 1916

Ce cliché pris en mai 1916 montre le maréchal-ferrant du 8ème régiment de réserve d'artillerie à pied N° 7 dans la garnison, à Stadenreke.

Documents iconographiques sans mention suffisante de leur origine :

Carte postale la Première Guerre mondiale : le Lieutenant Immelmann à côté de son avion Fokker. (lieu et date : inconnus)

Cette carte postale datant de la Première Guerre mondiale montre les ruines de la forêt de Houthulst. (date : inconnue)

Sur cette carte postale datant de la Première Guerre mondiale, on voit des hommes équipés de masques à gaz lors d'une alerte aux gaz toxiques. (lieu et date : inconnus)

Photographie de la Première Guerre mondiale : des enfants attendant, devant le bureau de la 10ème compagnie (compagnie Knoll), qu'on leur distribue des restes du déjeuner. (front de l'est, date : inconnue)
Photo : Archives du Volksbund

Sur ce cliché pris pendant la Première Guerre mondiale, on assiste à l'enterrement de morts au combat. (Lieu et date : inconnus)

Équipage d'un avion devant leur appareil - à gauche, le frère cadet de Gustav Watermann, Ernst Watermann (front de l'ouest, date : inconnue)

"Ne m’oubliez pas"– Le myosotis, fleur-symbole du souvenir des victimes de guerre

Le myosotis, ou "Vergissmeinnicht" en allemand ("ne m’oubliez pas"), est un symbole international du souvenir et des tendres adieux, et il est lié au souhait de continuer à exister dans la mémoire d’un être cher. Dans de nombreuses langues, il porte un nom qui a une signification similaire. Cette fleur a fait l’objet d’un grand nombre de poèmes et de chansons.

Cette "fleur bleue" est un motif courant du Romantisme allemand ; elle représente la nostalgie et l’amour. Elle exprime entre autres l’aspiration vers un idéal, ainsi que la vanité de la recherche humaine du bonheur parfait.

Beaucoup de jeunes gens qui se sont engagés volontairement au commencement de la Première Guerre mondiale,ignorant les cruelles conséquences de l’utilisation des armes modernes, étaient bercés par le Romantisme et ont idéalisé le dévouement personnel envers la patrie. La réalisation de soi incarnée par la "fleur bleue" du Romantisme constitue un motif profondément individualiste. Dans une perspective plus actuelle, elle est utilisée comme fleur du souvenir et elle constitue un contrepoint à ces meurtres de masse sans pitié qui ont eu lieu pendant cette première Grande Guerre.

Dans d’autres pays aussi, les fleurs endossent un rôle d’emblème du souvenir des victimes de guerre : ainsi, dans les États du Commonwealth, le "poppy", c’est-à-dire le coquelicot rouge, rend honneur aux victimes de guerre, et le "bleuet de France" est un hommage à ceux qui sont tombés sur les champs de bataille français. Il est intéressant de souligner que le bleuet était également utilisé en Allemagne après la Première Guerre mondiale pour se souvenir des victimes de guerre, et notamment dans les milieux ultranationalistes.

En 1926, le symbolisme de la fleur de myosotis a été choisi par les francs-maçons comme signe de reconnaissance interne. Pendant la campagne d’hiver, la distribution durant deux jours d’un insigne représentant un bouquet avec trois fleurs de myosotis a permis plus tard aux francs-maçons de pouvoir porter "leur" insigne sans craindre de représailles.

"GegendasVergessen" ("Contre l’oubli"), le credo utilisé depuis longtemps par le Volksbund dans son travail en faveur de la paix qui consiste à conserver le souvenir de toutes les victimes de la guerre et de la violence, de par sa signification (sans compter son avatar coloré), et par son dernier mot, l’oubli, renvoie à la fleur de myosotis. Le logo placé au cœur de la fleur s’inspire d’une photo de ce que l’on appelle "la tombe des quatre grenadiers" de la Première Guerre mondiale située à Grabowiec, en Pologne, et constitue un lien avec les organisations qui entretiennent les cimetières militaires ; celles-ciconsidèrent qu’il est de leur devoir de se souvenir tout particulièrement de ceux qui sont morts au combat et pendant la guerre, toutes nations confondues.

La fleur de myosotis, dans sa version stylisée que l’on peut voir ci-dessus, est un insigne qui permet à ceux qui le portent d’affirmer le souhait de ne jamais oublier les victimes des guerres et de la violence, sans distinction de pays. On la porte principalement lors des jours dédiés officiellement au souvenir : le Jour du Deuil national, à la Toussaint, le Dimanche des Morts, et à diverses occasions telles que des commémorations organisées dans des cimetières ou lors de la Fête nationale ; on peut la commander auprès du Volksbund à l’adresse suivante : (jusqu’à épuisement des stocks). Le logo peut quand à lui être utilisé dans le cadre de projets, sur demande écrite envoyée à l’adresse indiquée.